Nombre total de pages vues

vendredi 30 janvier 2009

108 - Un vrai seigneur

Vidéo : "Rien à prouver"

Je suis un seigneur.

Je mange dans une gamelle de bois, dors dans de la fourrure, nage en eaux libres, mendie avec dédain, gâche sans remords, mâche solennellement, marche sans me presser, cours avec les ânes, bêle en compagnie de mes femmes.

Je regarde l'heure qu'il est à la seconde près quand je n'ai pas besoin de savoir l'heure qu'il est. J'oublie le temps qui passe quand je vois le temps qu'il fait. La fatalité chez moi s'appelle "fatalitas". Je baigne parfois mes pieds dans une bassine en zinc. Je suis un seigneur et mes orteils valent autant que vos cocktails.

Comme tout seigneur, j'ai plein d'honneur : je crache par terre avec ostentation. Ca me fait coqueter quand je porte mon beau chapeau à plume. J'aime me pavaner, railler, mépriser, persifler. Je déteste la compagnie de mes semblables portant un couvre-chef plus haut que le mien. Je porte un amour presque immodéré à mes chats. Ma bonne les nourrit, et elle est âgée. Je ne la paye pas pour ne rien faire, aussi j'attends de cette vieillarde maintes satisfactions et moult services : transports de bois, arrachage de souches, port de seaux d'eau fort lourds. Pour la cuisine, j'emploie un tendron de seize ans peu farouche.

Je suis riche, avaricieux, poltron, déloyal, menteur, faussaire, enthousiaste, retors, élégant, colérique et prétentieux.

Je prends dans les troncs des églises, donne aux moins pauvres, fais la morale aux riches, recueille dans mes écuries les miséreux, mange à ma faim, vole ma vieille bonne, gâte ma cuisinière de seize printemps, flatte mon curé.

Je suis un seigneur. J'ai besoin de le répéter, de le rappeler, qu'on s'en souvienne. Mon chapeau à plume est seyant, mes crachats sont sonores et puissants, ma demeure est glaciale. Je vis dans mes écuries la plupart du temps, sauf quand je recueille des vagabonds. Là, je dors dans mon lit, eux dans mon foin quotidien. Je suis un seigneur.

Un peu étrange disent certains.

108 - Un vrai seigneur

Vidéo : "Rien à prouver"

Je suis un seigneur.

Je mange dans une gamelle de bois, dors dans de la fourrure, nage en eaux libres, mendie avec dédain, gâche sans remords, mâche solennellement, marche sans me presser, cours avec les ânes, bêle en compagnie de mes femmes.

Je regarde l'heure qu'il est à la seconde près quand je n'ai pas besoin de savoir l'heure qu'il est. J'oublie le temps qui passe quand je vois le temps qu'il fait. La fatalité chez moi s'appelle "fatalitas". Je baigne parfois mes pieds dans une bassine en zinc. Je suis un seigneur et mes orteils valent autant que vos cocktails.

Comme tout seigneur, j'ai plein d'honneur : je crache par terre avec ostentation. Ca me fait coqueter quand je porte mon beau chapeau à plume. J'aime me pavaner, railler, mépriser, persifler. Je déteste la compagnie de mes semblables portant un couvre-chef plus haut que le mien. Je porte un amour presque immodéré à mes chats. Ma bonne les nourrit, et elle est âgée. Je ne la paye pas pour ne rien faire, aussi j'attends de cette vieillarde maintes satisfactions et moult services : transports de bois, arrachage de souches, port de seaux d'eau fort lourds. Pour la cuisine, j'emploie un tendron de seize ans peu farouche.

Je suis riche, avaricieux, poltron, déloyal, menteur, faussaire, enthousiaste, retors, élégant, colérique et prétentieux.

Je prends dans les troncs des églises, donne aux moins pauvres, fais la morale aux riches, recueille dans mes écuries les miséreux, mange à ma faim, vole ma vieille bonne, gâte ma cuisinière de seize printemps, flatte mon curé.

Je suis un seigneur. J'ai besoin de le répéter, de le rappeler, qu'on s'en souvienne. Mon chapeau à plume est seyant, mes crachats sont sonores et puissants, ma demeure est glaciale. Je vis dans mes écuries la plupart du temps, sauf quand je recueille des vagabonds. Là, je dors dans mon lit, eux dans mon foin quotidien. Je suis un seigneur.

Un peu étrange disent certains.

108 - Un vrai seigneur

Vidéo : "Rien à prouver"

Je suis un seigneur.

Je mange dans une gamelle de bois, dors dans de la fourrure, nage en eaux libres, mendie avec dédain, gâche sans remords, mâche solennellement, marche sans me presser, cours avec les ânes, bêle en compagnie de mes femmes.

Je regarde l'heure qu'il est à la seconde près quand je n'ai pas besoin de savoir l'heure qu'il est. J'oublie le temps qui passe quand je vois le temps qu'il fait. La fatalité chez moi s'appelle "fatalitas". Je baigne parfois mes pieds dans une bassine en zinc. Je suis un seigneur et mes orteils valent autant que vos cocktails.

Comme tout seigneur, j'ai plein d'honneur : je crache par terre avec ostentation. Ca me fait coqueter quand je porte mon beau chapeau à plume. J'aime me pavaner, railler, mépriser, persifler. Je déteste la compagnie de mes semblables portant un couvre-chef plus haut que le mien. Je porte un amour presque immodéré à mes chats. Ma bonne les nourrit, et elle est âgée. Je ne la paye pas pour ne rien faire, aussi j'attends de cette vieillarde maintes satisfactions et moult services : transports de bois, arrachage de souches, port de seaux d'eau fort lourds. Pour la cuisine, j'emploie un tendron de seize ans peu farouche.

Je suis riche, avaricieux, poltron, déloyal, menteur, faussaire, enthousiaste, retors, élégant, colérique et prétentieux.

Je prends dans les troncs des églises, donne aux moins pauvres, fais la morale aux riches, recueille dans mes écuries les miséreux, mange à ma faim, vole ma vieille bonne, gâte ma cuisinière de seize printemps, flatte mon curé.

Je suis un seigneur. J'ai besoin de le répéter, de le rappeler, qu'on s'en souvienne. Mon chapeau à plume est seyant, mes crachats sont sonores et puissants, ma demeure est glaciale. Je vis dans mes écuries la plupart du temps, sauf quand je recueille des vagabonds. Là, je dors dans mon lit, eux dans mon foin quotidien. Je suis un seigneur.

Un peu étrange disent certains.

108 - Un vrai seigneur

Vidéo : "Rien à prouver"

Je suis un seigneur.

Je mange dans une gamelle de bois, dors dans de la fourrure, nage en eaux libres, mendie avec dédain, gâche sans remords, mâche solennellement, marche sans me presser, cours avec les ânes, bêle en compagnie de mes femmes.

Je regarde l'heure qu'il est à la seconde près quand je n'ai pas besoin de savoir l'heure qu'il est. J'oublie le temps qui passe quand je vois le temps qu'il fait. La fatalité chez moi s'appelle "fatalitas". Je baigne parfois mes pieds dans une bassine en zinc. Je suis un seigneur et mes orteils valent autant que vos cocktails.

Comme tout seigneur, j'ai plein d'honneur : je crache par terre avec ostentation. Ca me fait coqueter quand je porte mon beau chapeau à plume. J'aime me pavaner, railler, mépriser, persifler. Je déteste la compagnie de mes semblables portant un couvre-chef plus haut que le mien. Je porte un amour presque immodéré à mes chats. Ma bonne les nourrit, et elle est âgée. Je ne la paye pas pour ne rien faire, aussi j'attends de cette vieillarde maintes satisfactions et moult services : transports de bois, arrachage de souches, port de seaux d'eau fort lourds. Pour la cuisine, j'emploie un tendron de seize ans peu farouche.

Je suis riche, avaricieux, poltron, déloyal, menteur, faussaire, enthousiaste, retors, élégant, colérique et prétentieux.

Je prends dans les troncs des églises, donne aux moins pauvres, fais la morale aux riches, recueille dans mes écuries les miséreux, mange à ma faim, vole ma vieille bonne, gâte ma cuisinière de seize printemps, flatte mon curé.

Je suis un seigneur. J'ai besoin de le répéter, de le rappeler, qu'on s'en souvienne. Mon chapeau à plume est seyant, mes crachats sont sonores et puissants, ma demeure est glaciale. Je vis dans mes écuries la plupart du temps, sauf quand je recueille des vagabonds. Là, je dors dans mon lit, eux dans mon foin quotidien. Je suis un seigneur.

Un peu étrange disent certains.

108 - Un vrai seigneur

Vidéo : "Rien à prouver"

Je suis un seigneur.

Je mange dans une gamelle de bois, dors dans de la fourrure, nage en eaux libres, mendie avec dédain, gâche sans remords, mâche solennellement, marche sans me presser, cours avec les ânes, bêle en compagnie de mes femmes.

Je regarde l'heure qu'il est à la seconde près quand je n'ai pas besoin de savoir l'heure qu'il est. J'oublie le temps qui passe quand je vois le temps qu'il fait. La fatalité chez moi s'appelle "fatalitas". Je baigne parfois mes pieds dans une bassine en zinc. Je suis un seigneur et mes orteils valent autant que vos cocktails.

Comme tout seigneur, j'ai plein d'honneur : je crache par terre avec ostentation. Ca me fait coqueter quand je porte mon beau chapeau à plume. J'aime me pavaner, railler, mépriser, persifler. Je déteste la compagnie de mes semblables portant un couvre-chef plus haut que le mien. Je porte un amour presque immodéré à mes chats. Ma bonne les nourrit, et elle est âgée. Je ne la paye pas pour ne rien faire, aussi j'attends de cette vieillarde maintes satisfactions et moult services : transports de bois, arrachage de souches, port de seaux d'eau fort lourds. Pour la cuisine, j'emploie un tendron de seize ans peu farouche.

Je suis riche, avaricieux, poltron, déloyal, menteur, faussaire, enthousiaste, retors, élégant, colérique et prétentieux.

Je prends dans les troncs des églises, donne aux moins pauvres, fais la morale aux riches, recueille dans mes écuries les miséreux, mange à ma faim, vole ma vieille bonne, gâte ma cuisinière de seize printemps, flatte mon curé.

Je suis un seigneur. J'ai besoin de le répéter, de le rappeler, qu'on s'en souvienne. Mon chapeau à plume est seyant, mes crachats sont sonores et puissants, ma demeure est glaciale. Je vis dans mes écuries la plupart du temps, sauf quand je recueille des vagabonds. Là, je dors dans mon lit, eux dans mon foin quotidien. Je suis un seigneur.

Un peu étrange disent certains.

108 - Un vrai seigneur

Vidéo : "Rien à prouver"

Je suis un seigneur.

Je mange dans une gamelle de bois, dors dans de la fourrure, nage en eaux libres, mendie avec dédain, gâche sans remords, mâche solennellement, marche sans me presser, cours avec les ânes, bêle en compagnie de mes femmes.

Je regarde l'heure qu'il est à la seconde près quand je n'ai pas besoin de savoir l'heure qu'il est. J'oublie le temps qui passe quand je vois le temps qu'il fait. La fatalité chez moi s'appelle "fatalitas". Je baigne parfois mes pieds dans une bassine en zinc. Je suis un seigneur et mes orteils valent autant que vos cocktails.

Comme tout seigneur, j'ai plein d'honneur : je crache par terre avec ostentation. Ca me fait coqueter quand je porte mon beau chapeau à plume. J'aime me pavaner, railler, mépriser, persifler. Je déteste la compagnie de mes semblables portant un couvre-chef plus haut que le mien. Je porte un amour presque immodéré à mes chats. Ma bonne les nourrit, et elle est âgée. Je ne la paye pas pour ne rien faire, aussi j'attends de cette vieillarde maintes satisfactions et moult services : transports de bois, arrachage de souches, port de seaux d'eau fort lourds. Pour la cuisine, j'emploie un tendron de seize ans peu farouche.

Je suis riche, avaricieux, poltron, déloyal, menteur, faussaire, enthousiaste, retors, élégant, colérique et prétentieux.

Je prends dans les troncs des églises, donne aux moins pauvres, fais la morale aux riches, recueille dans mes écuries les miséreux, mange à ma faim, vole ma vieille bonne, gâte ma cuisinière de seize printemps, flatte mon curé.

Je suis un seigneur. J'ai besoin de le répéter, de le rappeler, qu'on s'en souvienne. Mon chapeau à plume est seyant, mes crachats sont sonores et puissants, ma demeure est glaciale. Je vis dans mes écuries la plupart du temps, sauf quand je recueille des vagabonds. Là, je dors dans mon lit, eux dans mon foin quotidien. Je suis un seigneur.

Un peu étrange disent certains.

108 - Un vrai seigneur

Vidéo : "Rien à prouver"

Je suis un seigneur.

Je mange dans une gamelle de bois, dors dans de la fourrure, nage en eaux libres, mendie avec dédain, gâche sans remords, mâche solennellement, marche sans me presser, cours avec les ânes, bêle en compagnie de mes femmes.

Je regarde l'heure qu'il est à la seconde près quand je n'ai pas besoin de savoir l'heure qu'il est. J'oublie le temps qui passe quand je vois le temps qu'il fait. La fatalité chez moi s'appelle "fatalitas". Je baigne parfois mes pieds dans une bassine en zinc. Je suis un seigneur et mes orteils valent autant que vos cocktails.

Comme tout seigneur, j'ai plein d'honneur : je crache par terre avec ostentation. Ca me fait coqueter quand je porte mon beau chapeau à plume. J'aime me pavaner, railler, mépriser, persifler. Je déteste la compagnie de mes semblables portant un couvre-chef plus haut que le mien. Je porte un amour presque immodéré à mes chats. Ma bonne les nourrit, et elle est âgée. Je ne la paye pas pour ne rien faire, aussi j'attends de cette vieillarde maintes satisfactions et moult services : transports de bois, arrachage de souches, port de seaux d'eau fort lourds. Pour la cuisine, j'emploie un tendron de seize ans peu farouche.

Je suis riche, avaricieux, poltron, déloyal, menteur, faussaire, enthousiaste, retors, élégant, colérique et prétentieux.

Je prends dans les troncs des églises, donne aux moins pauvres, fais la morale aux riches, recueille dans mes écuries les miséreux, mange à ma faim, vole ma vieille bonne, gâte ma cuisinière de seize printemps, flatte mon curé.

Je suis un seigneur. J'ai besoin de le répéter, de le rappeler, qu'on s'en souvienne. Mon chapeau à plume est seyant, mes crachats sont sonores et puissants, ma demeure est glaciale. Je vis dans mes écuries la plupart du temps, sauf quand je recueille des vagabonds. Là, je dors dans mon lit, eux dans mon foin quotidien. Je suis un seigneur.

Un peu étrange disent certains.

108 - Un vrai seigneur

Vidéo : "Rien à prouver"

Je suis un seigneur.

Je mange dans une gamelle de bois, dors dans de la fourrure, nage en eaux libres, mendie avec dédain, gâche sans remords, mâche solennellement, marche sans me presser, cours avec les ânes, bêle en compagnie de mes femmes.

Je regarde l'heure qu'il est à la seconde près quand je n'ai pas besoin de savoir l'heure qu'il est. J'oublie le temps qui passe quand je vois le temps qu'il fait. La fatalité chez moi s'appelle "fatalitas". Je baigne parfois mes pieds dans une bassine en zinc. Je suis un seigneur et mes orteils valent autant que vos cocktails.

Comme tout seigneur, j'ai plein d'honneur : je crache par terre avec ostentation. Ca me fait coqueter quand je porte mon beau chapeau à plume. J'aime me pavaner, railler, mépriser, persifler. Je déteste la compagnie de mes semblables portant un couvre-chef plus haut que le mien. Je porte un amour presque immodéré à mes chats. Ma bonne les nourrit, et elle est âgée. Je ne la paye pas pour ne rien faire, aussi j'attends de cette vieillarde maintes satisfactions et moult services : transports de bois, arrachage de souches, port de seaux d'eau fort lourds. Pour la cuisine, j'emploie un tendron de seize ans peu farouche.

Je suis riche, avaricieux, poltron, déloyal, menteur, faussaire, enthousiaste, retors, élégant, colérique et prétentieux.

Je prends dans les troncs des églises, donne aux moins pauvres, fais la morale aux riches, recueille dans mes écuries les miséreux, mange à ma faim, vole ma vieille bonne, gâte ma cuisinière de seize printemps, flatte mon curé.

Je suis un seigneur. J'ai besoin de le répéter, de le rappeler, qu'on s'en souvienne. Mon chapeau à plume est seyant, mes crachats sont sonores et puissants, ma demeure est glaciale. Je vis dans mes écuries la plupart du temps, sauf quand je recueille des vagabonds. Là, je dors dans mon lit, eux dans mon foin quotidien. Je suis un seigneur.

Un peu étrange disent certains.

108 - Un vrai seigneur

Vidéo : "Rien à prouver"

Je suis un seigneur.

Je mange dans une gamelle de bois, dors dans de la fourrure, nage en eaux libres, mendie avec dédain, gâche sans remords, mâche solennellement, marche sans me presser, cours avec les ânes, bêle en compagnie de mes femmes.

Je regarde l'heure qu'il est à la seconde près quand je n'ai pas besoin de savoir l'heure qu'il est. J'oublie le temps qui passe quand je vois le temps qu'il fait. La fatalité chez moi s'appelle "fatalitas". Je baigne parfois mes pieds dans une bassine en zinc. Je suis un seigneur et mes orteils valent autant que vos cocktails.

Comme tout seigneur, j'ai plein d'honneur : je crache par terre avec ostentation. Ca me fait coqueter quand je porte mon beau chapeau à plume. J'aime me pavaner, railler, mépriser, persifler. Je déteste la compagnie de mes semblables portant un couvre-chef plus haut que le mien. Je porte un amour presque immodéré à mes chats. Ma bonne les nourrit, et elle est âgée. Je ne la paye pas pour ne rien faire, aussi j'attends de cette vieillarde maintes satisfactions et moult services : transports de bois, arrachage de souches, port de seaux d'eau fort lourds. Pour la cuisine, j'emploie un tendron de seize ans peu farouche.

Je suis riche, avaricieux, poltron, déloyal, menteur, faussaire, enthousiaste, retors, élégant, colérique et prétentieux.

Je prends dans les troncs des églises, donne aux moins pauvres, fais la morale aux riches, recueille dans mes écuries les miséreux, mange à ma faim, vole ma vieille bonne, gâte ma cuisinière de seize printemps, flatte mon curé.

Je suis un seigneur. J'ai besoin de le répéter, de le rappeler, qu'on s'en souvienne. Mon chapeau à plume est seyant, mes crachats sont sonores et puissants, ma demeure est glaciale. Je vis dans mes écuries la plupart du temps, sauf quand je recueille des vagabonds. Là, je dors dans mon lit, eux dans mon foin quotidien. Je suis un seigneur.

Un peu étrange disent certains.

108 - Un vrai seigneur

Vidéo : "Rien à prouver"

Je suis un seigneur.

Je mange dans une gamelle de bois, dors dans de la fourrure, nage en eaux libres, mendie avec dédain, gâche sans remords, mâche solennellement, marche sans me presser, cours avec les ânes, bêle en compagnie de mes femmes.

Je regarde l'heure qu'il est à la seconde près quand je n'ai pas besoin de savoir l'heure qu'il est. J'oublie le temps qui passe quand je vois le temps qu'il fait. La fatalité chez moi s'appelle "fatalitas". Je baigne parfois mes pieds dans une bassine en zinc. Je suis un seigneur et mes orteils valent autant que vos cocktails.

Comme tout seigneur, j'ai plein d'honneur : je crache par terre avec ostentation. Ca me fait coqueter quand je porte mon beau chapeau à plume. J'aime me pavaner, railler, mépriser, persifler. Je déteste la compagnie de mes semblables portant un couvre-chef plus haut que le mien. Je porte un amour presque immodéré à mes chats. Ma bonne les nourrit, et elle est âgée. Je ne la paye pas pour ne rien faire, aussi j'attends de cette vieillarde maintes satisfactions et moult services : transports de bois, arrachage de souches, port de seaux d'eau fort lourds. Pour la cuisine, j'emploie un tendron de seize ans peu farouche.

Je suis riche, avaricieux, poltron, déloyal, menteur, faussaire, enthousiaste, retors, élégant, colérique et prétentieux.

Je prends dans les troncs des églises, donne aux moins pauvres, fais la morale aux riches, recueille dans mes écuries les miséreux, mange à ma faim, vole ma vieille bonne, gâte ma cuisinière de seize printemps, flatte mon curé.

Je suis un seigneur. J'ai besoin de le répéter, de le rappeler, qu'on s'en souvienne. Mon chapeau à plume est seyant, mes crachats sont sonores et puissants, ma demeure est glaciale. Je vis dans mes écuries la plupart du temps, sauf quand je recueille des vagabonds. Là, je dors dans mon lit, eux dans mon foin quotidien. Je suis un seigneur.

Un peu étrange disent certains.

107 - Je suis un prince

Vidéo : "Je suis un prince"

Fils des étoiles, enfant de la Lumière, fruit céleste, il est naturel que je sois considéré comme un prince.

Le prince IZARRA.

Même si, accessoirement, certaines femmes m'appellent PHARAON...

Évidemment cela déplaira au possible à plus d'un détracteur que je me fasse appeler prince... Comment faire abstraction de l'ingratitude, de l'ignorance, de la bêtise de ce monde puisque, moi aussi, je suis de ce monde ? Par conséquent je prends en compte les griefs, railleries et médisances de mes adversaires. Avec la hauteur de vue qui me caractérise.

En effet, un vrai prince sait écouter la gueusaille hurlante. Magnanime, miséricordieux, hautain mais néanmoins bienveillant, toujours je répondrai à leurs crachats en répandant le parfum de ma noblesse.

Mes ennemis en veulent à mon auréole izarrienne mais je pardonne infiniment à ces hérétiques : large, puissant est le torrent de mon âme, minuscule est la rigole de leurs pensées.

Le prince IZARRA fait grand cas de sa particule et comme toujours ce sont ceux qui vivent sous des patronymes dupontesques qui sont les premiers à le dénigrer... La proximité mutuelle des principes opposés amplifie leurs gloires et déchéances respectives : l'or que souhaite côtoyer la boue rend encore plus vile cette dernière et l'onde fangeuse qu'assèche la face de Râ fait briller l'astre d'un éclat supplémentaire.

Je suis le métal de la vertu, le soleil qui fait pâlir tout artifice.

Je restaure les vérités : à travers moi le vice rougit de honte et la laideur baisse son regard borgne.

Je suis Art, je suis Poésie, je suis Beauté, je suis Vérité, je suis IZARRA enfin.

De ma seule particule j'écrase misère, nullité, mensonge, horreur. De mon aile virile j'ennoblis quiconque est digne de la flamme izarrienne. De mon esprit supérieur j'éclaire l'aveugle lectorat, guide les égarés livresques, conseille aux érudits d'aller se régénérer à la source izarrienne. Je débouche les oreilles des sourds au son de ma lyre. Et de ma trompette fameuse réveille tous les abrutis de la Terre.

De mon front pur émane l'autorité cosmique.

Mon âme décidément débordante de noblesse fait loi. Ses éclairs sont bleus, blancs, rouges.

Et jaunes.

Je rétablis les honneurs perdus, châtie la vulgarité, distribue caresses ou jette le blâme.

Je suis le Salut des lettrés, je suis l'Épée des plumes, l'ennemi des enclumes.

En un mot je suis la Plume, je suis l'Étoile, je suis IZARRA.

Un vrai prince.

107 - Je suis un prince

Vidéo : "Je suis un prince"

Fils des étoiles, enfant de la Lumière, fruit céleste, il est naturel que je sois considéré comme un prince.

Le prince IZARRA.

Même si, accessoirement, certaines femmes m'appellent PHARAON...

Évidemment cela déplaira au possible à plus d'un détracteur que je me fasse appeler prince... Comment faire abstraction de l'ingratitude, de l'ignorance, de la bêtise de ce monde puisque, moi aussi, je suis de ce monde ? Par conséquent je prends en compte les griefs, railleries et médisances de mes adversaires. Avec la hauteur de vue qui me caractérise.

En effet, un vrai prince sait écouter la gueusaille hurlante. Magnanime, miséricordieux, hautain mais néanmoins bienveillant, toujours je répondrai à leurs crachats en répandant le parfum de ma noblesse.

Mes ennemis en veulent à mon auréole izarrienne mais je pardonne infiniment à ces hérétiques : large, puissant est le torrent de mon âme, minuscule est la rigole de leurs pensées.

Le prince IZARRA fait grand cas de sa particule et comme toujours ce sont ceux qui vivent sous des patronymes dupontesques qui sont les premiers à le dénigrer... La proximité mutuelle des principes opposés amplifie leurs gloires et déchéances respectives : l'or que souhaite côtoyer la boue rend encore plus vile cette dernière et l'onde fangeuse qu'assèche la face de Râ fait briller l'astre d'un éclat supplémentaire.

Je suis le métal de la vertu, le soleil qui fait pâlir tout artifice.

Je restaure les vérités : à travers moi le vice rougit de honte et la laideur baisse son regard borgne.

Je suis Art, je suis Poésie, je suis Beauté, je suis Vérité, je suis IZARRA enfin.

De ma seule particule j'écrase misère, nullité, mensonge, horreur. De mon aile virile j'ennoblis quiconque est digne de la flamme izarrienne. De mon esprit supérieur j'éclaire l'aveugle lectorat, guide les égarés livresques, conseille aux érudits d'aller se régénérer à la source izarrienne. Je débouche les oreilles des sourds au son de ma lyre. Et de ma trompette fameuse réveille tous les abrutis de la Terre.

De mon front pur émane l'autorité cosmique.

Mon âme décidément débordante de noblesse fait loi. Ses éclairs sont bleus, blancs, rouges.

Et jaunes.

Je rétablis les honneurs perdus, châtie la vulgarité, distribue caresses ou jette le blâme.

Je suis le Salut des lettrés, je suis l'Épée des plumes, l'ennemi des enclumes.

En un mot je suis la Plume, je suis l'Étoile, je suis IZARRA.

Un vrai prince.

107 - Je suis un prince

Vidéo : "Je suis un prince"

Fils des étoiles, enfant de la Lumière, fruit céleste, il est naturel que je sois considéré comme un prince.

Le prince IZARRA.

Même si, accessoirement, certaines femmes m'appellent PHARAON...

Évidemment cela déplaira au possible à plus d'un détracteur que je me fasse appeler prince... Comment faire abstraction de l'ingratitude, de l'ignorance, de la bêtise de ce monde puisque, moi aussi, je suis de ce monde ? Par conséquent je prends en compte les griefs, railleries et médisances de mes adversaires. Avec la hauteur de vue qui me caractérise.

En effet, un vrai prince sait écouter la gueusaille hurlante. Magnanime, miséricordieux, hautain mais néanmoins bienveillant, toujours je répondrai à leurs crachats en répandant le parfum de ma noblesse.

Mes ennemis en veulent à mon auréole izarrienne mais je pardonne infiniment à ces hérétiques : large, puissant est le torrent de mon âme, minuscule est la rigole de leurs pensées.

Le prince IZARRA fait grand cas de sa particule et comme toujours ce sont ceux qui vivent sous des patronymes dupontesques qui sont les premiers à le dénigrer... La proximité mutuelle des principes opposés amplifie leurs gloires et déchéances respectives : l'or que souhaite côtoyer la boue rend encore plus vile cette dernière et l'onde fangeuse qu'assèche la face de Râ fait briller l'astre d'un éclat supplémentaire.

Je suis le métal de la vertu, le soleil qui fait pâlir tout artifice.

Je restaure les vérités : à travers moi le vice rougit de honte et la laideur baisse son regard borgne.

Je suis Art, je suis Poésie, je suis Beauté, je suis Vérité, je suis IZARRA enfin.

De ma seule particule j'écrase misère, nullité, mensonge, horreur. De mon aile virile j'ennoblis quiconque est digne de la flamme izarrienne. De mon esprit supérieur j'éclaire l'aveugle lectorat, guide les égarés livresques, conseille aux érudits d'aller se régénérer à la source izarrienne. Je débouche les oreilles des sourds au son de ma lyre. Et de ma trompette fameuse réveille tous les abrutis de la Terre.

De mon front pur émane l'autorité cosmique.

Mon âme décidément débordante de noblesse fait loi. Ses éclairs sont bleus, blancs, rouges.

Et jaunes.

Je rétablis les honneurs perdus, châtie la vulgarité, distribue caresses ou jette le blâme.

Je suis le Salut des lettrés, je suis l'Épée des plumes, l'ennemi des enclumes.

En un mot je suis la Plume, je suis l'Étoile, je suis IZARRA.

Un vrai prince.

107 - Je suis un prince

Vidéo : "Je suis un prince"

Fils des étoiles, enfant de la Lumière, fruit céleste, il est naturel que je sois considéré comme un prince.

Le prince IZARRA.

Même si, accessoirement, certaines femmes m'appellent PHARAON...

Évidemment cela déplaira au possible à plus d'un détracteur que je me fasse appeler prince... Comment faire abstraction de l'ingratitude, de l'ignorance, de la bêtise de ce monde puisque, moi aussi, je suis de ce monde ? Par conséquent je prends en compte les griefs, railleries et médisances de mes adversaires. Avec la hauteur de vue qui me caractérise.

En effet, un vrai prince sait écouter la gueusaille hurlante. Magnanime, miséricordieux, hautain mais néanmoins bienveillant, toujours je répondrai à leurs crachats en répandant le parfum de ma noblesse.

Mes ennemis en veulent à mon auréole izarrienne mais je pardonne infiniment à ces hérétiques : large, puissant est le torrent de mon âme, minuscule est la rigole de leurs pensées.

Le prince IZARRA fait grand cas de sa particule et comme toujours ce sont ceux qui vivent sous des patronymes dupontesques qui sont les premiers à le dénigrer... La proximité mutuelle des principes opposés amplifie leurs gloires et déchéances respectives : l'or que souhaite côtoyer la boue rend encore plus vile cette dernière et l'onde fangeuse qu'assèche la face de Râ fait briller l'astre d'un éclat supplémentaire.

Je suis le métal de la vertu, le soleil qui fait pâlir tout artifice.

Je restaure les vérités : à travers moi le vice rougit de honte et la laideur baisse son regard borgne.

Je suis Art, je suis Poésie, je suis Beauté, je suis Vérité, je suis IZARRA enfin.

De ma seule particule j'écrase misère, nullité, mensonge, horreur. De mon aile virile j'ennoblis quiconque est digne de la flamme izarrienne. De mon esprit supérieur j'éclaire l'aveugle lectorat, guide les égarés livresques, conseille aux érudits d'aller se régénérer à la source izarrienne. Je débouche les oreilles des sourds au son de ma lyre. Et de ma trompette fameuse réveille tous les abrutis de la Terre.

De mon front pur émane l'autorité cosmique.

Mon âme décidément débordante de noblesse fait loi. Ses éclairs sont bleus, blancs, rouges.

Et jaunes.

Je rétablis les honneurs perdus, châtie la vulgarité, distribue caresses ou jette le blâme.

Je suis le Salut des lettrés, je suis l'Épée des plumes, l'ennemi des enclumes.

En un mot je suis la Plume, je suis l'Étoile, je suis IZARRA.

Un vrai prince.

107 - Je suis un prince

Vidéo : "Je suis un prince"

Fils des étoiles, enfant de la Lumière, fruit céleste, il est naturel que je sois considéré comme un prince.

Le prince IZARRA.

Même si, accessoirement, certaines femmes m'appellent PHARAON...

Évidemment cela déplaira au possible à plus d'un détracteur que je me fasse appeler prince... Comment faire abstraction de l'ingratitude, de l'ignorance, de la bêtise de ce monde puisque, moi aussi, je suis de ce monde ? Par conséquent je prends en compte les griefs, railleries et médisances de mes adversaires. Avec la hauteur de vue qui me caractérise.

En effet, un vrai prince sait écouter la gueusaille hurlante. Magnanime, miséricordieux, hautain mais néanmoins bienveillant, toujours je répondrai à leurs crachats en répandant le parfum de ma noblesse.

Mes ennemis en veulent à mon auréole izarrienne mais je pardonne infiniment à ces hérétiques : large, puissant est le torrent de mon âme, minuscule est la rigole de leurs pensées.

Le prince IZARRA fait grand cas de sa particule et comme toujours ce sont ceux qui vivent sous des patronymes dupontesques qui sont les premiers à le dénigrer... La proximité mutuelle des principes opposés amplifie leurs gloires et déchéances respectives : l'or que souhaite côtoyer la boue rend encore plus vile cette dernière et l'onde fangeuse qu'assèche la face de Râ fait briller l'astre d'un éclat supplémentaire.

Je suis le métal de la vertu, le soleil qui fait pâlir tout artifice.

Je restaure les vérités : à travers moi le vice rougit de honte et la laideur baisse son regard borgne.

Je suis Art, je suis Poésie, je suis Beauté, je suis Vérité, je suis IZARRA enfin.

De ma seule particule j'écrase misère, nullité, mensonge, horreur. De mon aile virile j'ennoblis quiconque est digne de la flamme izarrienne. De mon esprit supérieur j'éclaire l'aveugle lectorat, guide les égarés livresques, conseille aux érudits d'aller se régénérer à la source izarrienne. Je débouche les oreilles des sourds au son de ma lyre. Et de ma trompette fameuse réveille tous les abrutis de la Terre.

De mon front pur émane l'autorité cosmique.

Mon âme décidément débordante de noblesse fait loi. Ses éclairs sont bleus, blancs, rouges.

Et jaunes.

Je rétablis les honneurs perdus, châtie la vulgarité, distribue caresses ou jette le blâme.

Je suis le Salut des lettrés, je suis l'Épée des plumes, l'ennemi des enclumes.

En un mot je suis la Plume, je suis l'Étoile, je suis IZARRA.

Un vrai prince.

107 - Je suis un prince

Vidéo : "Je suis un prince"

Fils des étoiles, enfant de la Lumière, fruit céleste, il est naturel que je sois considéré comme un prince.

Le prince IZARRA.

Même si, accessoirement, certaines femmes m'appellent PHARAON...

Évidemment cela déplaira au possible à plus d'un détracteur que je me fasse appeler prince... Comment faire abstraction de l'ingratitude, de l'ignorance, de la bêtise de ce monde puisque, moi aussi, je suis de ce monde ? Par conséquent je prends en compte les griefs, railleries et médisances de mes adversaires. Avec la hauteur de vue qui me caractérise.

En effet, un vrai prince sait écouter la gueusaille hurlante. Magnanime, miséricordieux, hautain mais néanmoins bienveillant, toujours je répondrai à leurs crachats en répandant le parfum de ma noblesse.

Mes ennemis en veulent à mon auréole izarrienne mais je pardonne infiniment à ces hérétiques : large, puissant est le torrent de mon âme, minuscule est la rigole de leurs pensées.

Le prince IZARRA fait grand cas de sa particule et comme toujours ce sont ceux qui vivent sous des patronymes dupontesques qui sont les premiers à le dénigrer... La proximité mutuelle des principes opposés amplifie leurs gloires et déchéances respectives : l'or que souhaite côtoyer la boue rend encore plus vile cette dernière et l'onde fangeuse qu'assèche la face de Râ fait briller l'astre d'un éclat supplémentaire.

Je suis le métal de la vertu, le soleil qui fait pâlir tout artifice.

Je restaure les vérités : à travers moi le vice rougit de honte et la laideur baisse son regard borgne.

Je suis Art, je suis Poésie, je suis Beauté, je suis Vérité, je suis IZARRA enfin.

De ma seule particule j'écrase misère, nullité, mensonge, horreur. De mon aile virile j'ennoblis quiconque est digne de la flamme izarrienne. De mon esprit supérieur j'éclaire l'aveugle lectorat, guide les égarés livresques, conseille aux érudits d'aller se régénérer à la source izarrienne. Je débouche les oreilles des sourds au son de ma lyre. Et de ma trompette fameuse réveille tous les abrutis de la Terre.

De mon front pur émane l'autorité cosmique.

Mon âme décidément débordante de noblesse fait loi. Ses éclairs sont bleus, blancs, rouges.

Et jaunes.

Je rétablis les honneurs perdus, châtie la vulgarité, distribue caresses ou jette le blâme.

Je suis le Salut des lettrés, je suis l'Épée des plumes, l'ennemi des enclumes.

En un mot je suis la Plume, je suis l'Étoile, je suis IZARRA.

Un vrai prince.

107 - Je suis un prince

Vidéo : "Je suis un prince"

Fils des étoiles, enfant de la Lumière, fruit céleste, il est naturel que je sois considéré comme un prince.

Le prince IZARRA.

Même si, accessoirement, certaines femmes m'appellent PHARAON...

Évidemment cela déplaira au possible à plus d'un détracteur que je me fasse appeler prince... Comment faire abstraction de l'ingratitude, de l'ignorance, de la bêtise de ce monde puisque, moi aussi, je suis de ce monde ? Par conséquent je prends en compte les griefs, railleries et médisances de mes adversaires. Avec la hauteur de vue qui me caractérise.

En effet, un vrai prince sait écouter la gueusaille hurlante. Magnanime, miséricordieux, hautain mais néanmoins bienveillant, toujours je répondrai à leurs crachats en répandant le parfum de ma noblesse.

Mes ennemis en veulent à mon auréole izarrienne mais je pardonne infiniment à ces hérétiques : large, puissant est le torrent de mon âme, minuscule est la rigole de leurs pensées.

Le prince IZARRA fait grand cas de sa particule et comme toujours ce sont ceux qui vivent sous des patronymes dupontesques qui sont les premiers à le dénigrer... La proximité mutuelle des principes opposés amplifie leurs gloires et déchéances respectives : l'or que souhaite côtoyer la boue rend encore plus vile cette dernière et l'onde fangeuse qu'assèche la face de Râ fait briller l'astre d'un éclat supplémentaire.

Je suis le métal de la vertu, le soleil qui fait pâlir tout artifice.

Je restaure les vérités : à travers moi le vice rougit de honte et la laideur baisse son regard borgne.

Je suis Art, je suis Poésie, je suis Beauté, je suis Vérité, je suis IZARRA enfin.

De ma seule particule j'écrase misère, nullité, mensonge, horreur. De mon aile virile j'ennoblis quiconque est digne de la flamme izarrienne. De mon esprit supérieur j'éclaire l'aveugle lectorat, guide les égarés livresques, conseille aux érudits d'aller se régénérer à la source izarrienne. Je débouche les oreilles des sourds au son de ma lyre. Et de ma trompette fameuse réveille tous les abrutis de la Terre.

De mon front pur émane l'autorité cosmique.

Mon âme décidément débordante de noblesse fait loi. Ses éclairs sont bleus, blancs, rouges.

Et jaunes.

Je rétablis les honneurs perdus, châtie la vulgarité, distribue caresses ou jette le blâme.

Je suis le Salut des lettrés, je suis l'Épée des plumes, l'ennemi des enclumes.

En un mot je suis la Plume, je suis l'Étoile, je suis IZARRA.

Un vrai prince.

107 - Je suis un prince

Vidéo : "Je suis un prince"

Fils des étoiles, enfant de la Lumière, fruit céleste, il est naturel que je sois considéré comme un prince.

Le prince IZARRA.

Même si, accessoirement, certaines femmes m'appellent PHARAON...

Évidemment cela déplaira au possible à plus d'un détracteur que je me fasse appeler prince... Comment faire abstraction de l'ingratitude, de l'ignorance, de la bêtise de ce monde puisque, moi aussi, je suis de ce monde ? Par conséquent je prends en compte les griefs, railleries et médisances de mes adversaires. Avec la hauteur de vue qui me caractérise.

En effet, un vrai prince sait écouter la gueusaille hurlante. Magnanime, miséricordieux, hautain mais néanmoins bienveillant, toujours je répondrai à leurs crachats en répandant le parfum de ma noblesse.

Mes ennemis en veulent à mon auréole izarrienne mais je pardonne infiniment à ces hérétiques : large, puissant est le torrent de mon âme, minuscule est la rigole de leurs pensées.

Le prince IZARRA fait grand cas de sa particule et comme toujours ce sont ceux qui vivent sous des patronymes dupontesques qui sont les premiers à le dénigrer... La proximité mutuelle des principes opposés amplifie leurs gloires et déchéances respectives : l'or que souhaite côtoyer la boue rend encore plus vile cette dernière et l'onde fangeuse qu'assèche la face de Râ fait briller l'astre d'un éclat supplémentaire.

Je suis le métal de la vertu, le soleil qui fait pâlir tout artifice.

Je restaure les vérités : à travers moi le vice rougit de honte et la laideur baisse son regard borgne.

Je suis Art, je suis Poésie, je suis Beauté, je suis Vérité, je suis IZARRA enfin.

De ma seule particule j'écrase misère, nullité, mensonge, horreur. De mon aile virile j'ennoblis quiconque est digne de la flamme izarrienne. De mon esprit supérieur j'éclaire l'aveugle lectorat, guide les égarés livresques, conseille aux érudits d'aller se régénérer à la source izarrienne. Je débouche les oreilles des sourds au son de ma lyre. Et de ma trompette fameuse réveille tous les abrutis de la Terre.

De mon front pur émane l'autorité cosmique.

Mon âme décidément débordante de noblesse fait loi. Ses éclairs sont bleus, blancs, rouges.

Et jaunes.

Je rétablis les honneurs perdus, châtie la vulgarité, distribue caresses ou jette le blâme.

Je suis le Salut des lettrés, je suis l'Épée des plumes, l'ennemi des enclumes.

En un mot je suis la Plume, je suis l'Étoile, je suis IZARRA.

Un vrai prince.

107 - Je suis un prince

Vidéo : "Je suis un prince"

Fils des étoiles, enfant de la Lumière, fruit céleste, il est naturel que je sois considéré comme un prince.

Le prince IZARRA.

Même si, accessoirement, certaines femmes m'appellent PHARAON...

Évidemment cela déplaira au possible à plus d'un détracteur que je me fasse appeler prince... Comment faire abstraction de l'ingratitude, de l'ignorance, de la bêtise de ce monde puisque, moi aussi, je suis de ce monde ? Par conséquent je prends en compte les griefs, railleries et médisances de mes adversaires. Avec la hauteur de vue qui me caractérise.

En effet, un vrai prince sait écouter la gueusaille hurlante. Magnanime, miséricordieux, hautain mais néanmoins bienveillant, toujours je répondrai à leurs crachats en répandant le parfum de ma noblesse.

Mes ennemis en veulent à mon auréole izarrienne mais je pardonne infiniment à ces hérétiques : large, puissant est le torrent de mon âme, minuscule est la rigole de leurs pensées.

Le prince IZARRA fait grand cas de sa particule et comme toujours ce sont ceux qui vivent sous des patronymes dupontesques qui sont les premiers à le dénigrer... La proximité mutuelle des principes opposés amplifie leurs gloires et déchéances respectives : l'or que souhaite côtoyer la boue rend encore plus vile cette dernière et l'onde fangeuse qu'assèche la face de Râ fait briller l'astre d'un éclat supplémentaire.

Je suis le métal de la vertu, le soleil qui fait pâlir tout artifice.

Je restaure les vérités : à travers moi le vice rougit de honte et la laideur baisse son regard borgne.

Je suis Art, je suis Poésie, je suis Beauté, je suis Vérité, je suis IZARRA enfin.

De ma seule particule j'écrase misère, nullité, mensonge, horreur. De mon aile virile j'ennoblis quiconque est digne de la flamme izarrienne. De mon esprit supérieur j'éclaire l'aveugle lectorat, guide les égarés livresques, conseille aux érudits d'aller se régénérer à la source izarrienne. Je débouche les oreilles des sourds au son de ma lyre. Et de ma trompette fameuse réveille tous les abrutis de la Terre.

De mon front pur émane l'autorité cosmique.

Mon âme décidément débordante de noblesse fait loi. Ses éclairs sont bleus, blancs, rouges.

Et jaunes.

Je rétablis les honneurs perdus, châtie la vulgarité, distribue caresses ou jette le blâme.

Je suis le Salut des lettrés, je suis l'Épée des plumes, l'ennemi des enclumes.

En un mot je suis la Plume, je suis l'Étoile, je suis IZARRA.

Un vrai prince.

107 - Je suis un prince

Vidéo : "Je suis un prince"

Fils des étoiles, enfant de la Lumière, fruit céleste, il est naturel que je sois considéré comme un prince.

Le prince IZARRA.

Même si, accessoirement, certaines femmes m'appellent PHARAON...

Évidemment cela déplaira au possible à plus d'un détracteur que je me fasse appeler prince... Comment faire abstraction de l'ingratitude, de l'ignorance, de la bêtise de ce monde puisque, moi aussi, je suis de ce monde ? Par conséquent je prends en compte les griefs, railleries et médisances de mes adversaires. Avec la hauteur de vue qui me caractérise.

En effet, un vrai prince sait écouter la gueusaille hurlante. Magnanime, miséricordieux, hautain mais néanmoins bienveillant, toujours je répondrai à leurs crachats en répandant le parfum de ma noblesse.

Mes ennemis en veulent à mon auréole izarrienne mais je pardonne infiniment à ces hérétiques : large, puissant est le torrent de mon âme, minuscule est la rigole de leurs pensées.

Le prince IZARRA fait grand cas de sa particule et comme toujours ce sont ceux qui vivent sous des patronymes dupontesques qui sont les premiers à le dénigrer... La proximité mutuelle des principes opposés amplifie leurs gloires et déchéances respectives : l'or que souhaite côtoyer la boue rend encore plus vile cette dernière et l'onde fangeuse qu'assèche la face de Râ fait briller l'astre d'un éclat supplémentaire.

Je suis le métal de la vertu, le soleil qui fait pâlir tout artifice.

Je restaure les vérités : à travers moi le vice rougit de honte et la laideur baisse son regard borgne.

Je suis Art, je suis Poésie, je suis Beauté, je suis Vérité, je suis IZARRA enfin.

De ma seule particule j'écrase misère, nullité, mensonge, horreur. De mon aile virile j'ennoblis quiconque est digne de la flamme izarrienne. De mon esprit supérieur j'éclaire l'aveugle lectorat, guide les égarés livresques, conseille aux érudits d'aller se régénérer à la source izarrienne. Je débouche les oreilles des sourds au son de ma lyre. Et de ma trompette fameuse réveille tous les abrutis de la Terre.

De mon front pur émane l'autorité cosmique.

Mon âme décidément débordante de noblesse fait loi. Ses éclairs sont bleus, blancs, rouges.

Et jaunes.

Je rétablis les honneurs perdus, châtie la vulgarité, distribue caresses ou jette le blâme.

Je suis le Salut des lettrés, je suis l'Épée des plumes, l'ennemi des enclumes.

En un mot je suis la Plume, je suis l'Étoile, je suis IZARRA.

Un vrai prince.

106 - Le coeur et l'entonnoir

Vidéo : "Un chat jaune chez nous"

Autrefois j'ai aimé une créature infernale. Un monstre beau, tendre, baroque et pur : prodige régnant sur un pays dont on ne voit jamais les frontières, aussi vaste que l'imagination. J'ai quitté les rivages qui vous sont si chers, asiles de vos dieux d'airain. J'ai rompu les amarres qui vous tiennent tant à coeur, impatient de rejoindre les brumes promises, loin de votre terre ferme.

Pour plaire à cet être hideux j'ai trahi raison, sens, logique. Pour cette chose innommable j'ai renié l'âpreté des sciences, attiré par l'haleine chaude, mystérieuse de ses baisers. Au nom de cet amour contre-nature je me suis détourné de la fontaine du savoir, préférant me désaltérer à la source brûlante, vénéneuse de ses lèvres. De ce breuvage impie j'ai gardé la nostalgie du feu qui donne leur éclat aux étoiles. Et rend si pâles vos visages enfouis dans la grisaille...

J'ai suivi cette chimère pour fuir vos jours remplis d'ennui. Vous étiez morts, elle était pleine de vie. Parce que j'ai aperçu une parcelle de vérité dans ses yeux vérolés, j'ai dit : "J'oublie la patrie des sages !". Ne me condamnez pas, la mort me demandera bien assez tôt des comptes pour avoir tant aimé la pourriture.

Aujourd'hui je demeure seul, mon amour putride n'est plus à mes côtés. La créature s'en est retournée à son cher enfer, et me voici revenu parmi vous. Je porte sa mémoire comme un délicieux fardeau. Parfois elle vient me visiter dans mes songes pour me cracher à la figure.

Cette créature, les plus âgés d'entre vous l'ont peut-être rencontrée un jour, dans un autre pays que ce pays, sous d'autres cieux que ces cieux. Elle avait les yeux profonds, noirs, terribles et beaux... Ils étaient bleus peut-être. A moins qu'ils ne fussent verts. Ou ténébreux. Mais quelle importance ? Ils étaient bridés comme des demi-lunes ou bien clairs comme l'eau vive. Elle n'était pas d'ici et pourtant elle était quand même de notre pays, de notre histoire, de notre temps. Elle était belle, laide, fascinante, effrayante.

Elle se nommait FOLIE.

106 - Le coeur et l'entonnoir

Vidéo : "Un chat jaune chez nous"

Autrefois j'ai aimé une créature infernale. Un monstre beau, tendre, baroque et pur : prodige régnant sur un pays dont on ne voit jamais les frontières, aussi vaste que l'imagination. J'ai quitté les rivages qui vous sont si chers, asiles de vos dieux d'airain. J'ai rompu les amarres qui vous tiennent tant à coeur, impatient de rejoindre les brumes promises, loin de votre terre ferme.

Pour plaire à cet être hideux j'ai trahi raison, sens, logique. Pour cette chose innommable j'ai renié l'âpreté des sciences, attiré par l'haleine chaude, mystérieuse de ses baisers. Au nom de cet amour contre-nature je me suis détourné de la fontaine du savoir, préférant me désaltérer à la source brûlante, vénéneuse de ses lèvres. De ce breuvage impie j'ai gardé la nostalgie du feu qui donne leur éclat aux étoiles. Et rend si pâles vos visages enfouis dans la grisaille...

J'ai suivi cette chimère pour fuir vos jours remplis d'ennui. Vous étiez morts, elle était pleine de vie. Parce que j'ai aperçu une parcelle de vérité dans ses yeux vérolés, j'ai dit : "J'oublie la patrie des sages !". Ne me condamnez pas, la mort me demandera bien assez tôt des comptes pour avoir tant aimé la pourriture.

Aujourd'hui je demeure seul, mon amour putride n'est plus à mes côtés. La créature s'en est retournée à son cher enfer, et me voici revenu parmi vous. Je porte sa mémoire comme un délicieux fardeau. Parfois elle vient me visiter dans mes songes pour me cracher à la figure.

Cette créature, les plus âgés d'entre vous l'ont peut-être rencontrée un jour, dans un autre pays que ce pays, sous d'autres cieux que ces cieux. Elle avait les yeux profonds, noirs, terribles et beaux... Ils étaient bleus peut-être. A moins qu'ils ne fussent verts. Ou ténébreux. Mais quelle importance ? Ils étaient bridés comme des demi-lunes ou bien clairs comme l'eau vive. Elle n'était pas d'ici et pourtant elle était quand même de notre pays, de notre histoire, de notre temps. Elle était belle, laide, fascinante, effrayante.

Elle se nommait FOLIE.

106 - Le coeur et l'entonnoir

Vidéo : "Un chat jaune chez nous"

Autrefois j'ai aimé une créature infernale. Un monstre beau, tendre, baroque et pur : prodige régnant sur un pays dont on ne voit jamais les frontières, aussi vaste que l'imagination. J'ai quitté les rivages qui vous sont si chers, asiles de vos dieux d'airain. J'ai rompu les amarres qui vous tiennent tant à coeur, impatient de rejoindre les brumes promises, loin de votre terre ferme.

Pour plaire à cet être hideux j'ai trahi raison, sens, logique. Pour cette chose innommable j'ai renié l'âpreté des sciences, attiré par l'haleine chaude, mystérieuse de ses baisers. Au nom de cet amour contre-nature je me suis détourné de la fontaine du savoir, préférant me désaltérer à la source brûlante, vénéneuse de ses lèvres. De ce breuvage impie j'ai gardé la nostalgie du feu qui donne leur éclat aux étoiles. Et rend si pâles vos visages enfouis dans la grisaille...

J'ai suivi cette chimère pour fuir vos jours remplis d'ennui. Vous étiez morts, elle était pleine de vie. Parce que j'ai aperçu une parcelle de vérité dans ses yeux vérolés, j'ai dit : "J'oublie la patrie des sages !". Ne me condamnez pas, la mort me demandera bien assez tôt des comptes pour avoir tant aimé la pourriture.

Aujourd'hui je demeure seul, mon amour putride n'est plus à mes côtés. La créature s'en est retournée à son cher enfer, et me voici revenu parmi vous. Je porte sa mémoire comme un délicieux fardeau. Parfois elle vient me visiter dans mes songes pour me cracher à la figure.

Cette créature, les plus âgés d'entre vous l'ont peut-être rencontrée un jour, dans un autre pays que ce pays, sous d'autres cieux que ces cieux. Elle avait les yeux profonds, noirs, terribles et beaux... Ils étaient bleus peut-être. A moins qu'ils ne fussent verts. Ou ténébreux. Mais quelle importance ? Ils étaient bridés comme des demi-lunes ou bien clairs comme l'eau vive. Elle n'était pas d'ici et pourtant elle était quand même de notre pays, de notre histoire, de notre temps. Elle était belle, laide, fascinante, effrayante.

Elle se nommait FOLIE.

106 - Le coeur et l'entonnoir

Vidéo : "Un chat jaune chez nous"

Autrefois j'ai aimé une créature infernale. Un monstre beau, tendre, baroque et pur : prodige régnant sur un pays dont on ne voit jamais les frontières, aussi vaste que l'imagination. J'ai quitté les rivages qui vous sont si chers, asiles de vos dieux d'airain. J'ai rompu les amarres qui vous tiennent tant à coeur, impatient de rejoindre les brumes promises, loin de votre terre ferme.

Pour plaire à cet être hideux j'ai trahi raison, sens, logique. Pour cette chose innommable j'ai renié l'âpreté des sciences, attiré par l'haleine chaude, mystérieuse de ses baisers. Au nom de cet amour contre-nature je me suis détourné de la fontaine du savoir, préférant me désaltérer à la source brûlante, vénéneuse de ses lèvres. De ce breuvage impie j'ai gardé la nostalgie du feu qui donne leur éclat aux étoiles. Et rend si pâles vos visages enfouis dans la grisaille...

J'ai suivi cette chimère pour fuir vos jours remplis d'ennui. Vous étiez morts, elle était pleine de vie. Parce que j'ai aperçu une parcelle de vérité dans ses yeux vérolés, j'ai dit : "J'oublie la patrie des sages !". Ne me condamnez pas, la mort me demandera bien assez tôt des comptes pour avoir tant aimé la pourriture.

Aujourd'hui je demeure seul, mon amour putride n'est plus à mes côtés. La créature s'en est retournée à son cher enfer, et me voici revenu parmi vous. Je porte sa mémoire comme un délicieux fardeau. Parfois elle vient me visiter dans mes songes pour me cracher à la figure.

Cette créature, les plus âgés d'entre vous l'ont peut-être rencontrée un jour, dans un autre pays que ce pays, sous d'autres cieux que ces cieux. Elle avait les yeux profonds, noirs, terribles et beaux... Ils étaient bleus peut-être. A moins qu'ils ne fussent verts. Ou ténébreux. Mais quelle importance ? Ils étaient bridés comme des demi-lunes ou bien clairs comme l'eau vive. Elle n'était pas d'ici et pourtant elle était quand même de notre pays, de notre histoire, de notre temps. Elle était belle, laide, fascinante, effrayante.

Elle se nommait FOLIE.